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Nos assurances pour chirurgiens urologues
Avec ses offres d’assurance pour les chirurgiens urologues, Branchet a choisi de vous accompagner dans votre pratique et d’être à vos côtés à chaque étape importante de votre vie professionnelle : installation / accident de la vie / retraite.
En tant que spécialiste vous connaissez parfaitement votre métier. Branchet a également fait le choix de se spécialiser en décidant de n’intervenir que dans votre cadre professionnel et en mettant à votre disposition des interlocuteurs référents connaissant parfaitement les problématiques de votre profession.
Les points forts Branchet pour les chirurgiens urologues
Chez Branchet, nous travaillons quotidiennement sur les problématiques et mises en causes des chirurgiens urologues. Comme l’évoquent les Professeur Morgan Roupret et Docteur Jean-Luc Moreau du pôle Urologie Branchet, dans notre cartographie des risques 2023, l’urologie est peu pourvoyeuse de contentieux et de demandes d’indemnisation comparativement à d’autres spécialités.
Cependant, l’urologie étant une spécialité médico-chirurgicale en constante évolution et adaptation face aux progrès scientifiques et technologiques, de nouveaux risques inhérents aux changements de pratique et d’organisation professionnelle émergent.
C’est pourquoi nous avons développé des outils adaptés aux risques et enjeux de votre spécialité, au travers :
Toutes vos assurances professionnelles réunies
Un package avantageux regroupant RCP, multipro, prévoyance, risque cyber…
Une défense performante
80 % des dossiers clos sans indemnités versées au patient.
En savoir plus sur le système de défense Branchet
Des interlocuteurs de votre spécialité
Des experts connaissant parfaitement votre spécialité (médecins, interlocuteurs Branchet).
Un accès à des services complémentaires
- Une assistance 24/7 (médico légale, infectiologie, épuisement professionnel, cyber-sécurité).
- Des formations et des outils pour prévenir le risque.
Chirurgie urologique : des experts pour vous épauler
Les assistants-conseil
Le pôle urologie est composé de 5 assistants-conseil répartis sur l’ensemble du territoire, métropole et outremer. Le Pr Morgan Rouprêt, chirurgien urologue, en est le chef de pôle et Alexis Favre en est le référent.
Ces assistants-conseil bénéficient également de l’avis et de l’expertise de nos 10 assistants-conseil infectiologues rassemblés dans le pôle infectiologie du Dr Olivier Leroy.
Ils interviennent à la fois lors d’expertises en invalidité dans le cadre de votre Prévoyance et lors de votre défense en cas de mise en cause. Ils sont également disponibles pour vous assister en cas de difficultés professionnelles, qu’elles soient liées à votre organisation, à vos conditions de travail ou encore à votre relation avec votre établissement de santé.
L’importance du contrat prévoyance
Peu importe la technique, à l’anse électrique ou au laser, une résection endoscopique de prostate nécessite l’utilisation des deux mains et de certaines articulations spécifiques : la pince “pouce-index” et surtout la première articulation inter-phalangienne de l’index droit (pour les droitiers). Ce geste est assez spécifique et diffère de l’utilisation d’autres instruments dans d’autres spécialités ou l’articulation la plus sollicitée est la métacarpo-phalangienne de l’index de la main “forte”.
Cette spécificité de l’urologue prend toute son importance en cas d’atteinte arthrosique ou de plaie de la main touchant les fléchisseurs de l’index. La conservation de la pince “pouce -index” en cas de traumatisme ou d’autre pathologie n’est donc pas une condition suffisante pour exercer pleinement une activité de chirurgie urologique. La connaissance de cette spécificité par l’assureur permettra de proposer une indemnité adaptée à la réalité du préjudice.
C’est pourquoi il est primordial de se préparer financièrement en cas d’incapacité de travail. Une assurance prévoyance offre une sécurité financière cruciale en fournissant des prestations régulières pour compenser la perte de revenu en cas de blessure, de maladie grave ou d’invalidité. Cela permet aux chirurgiens urologues de maintenir leur niveau de vie, de subvenir aux besoins de leur famille et de respecter leurs obligations financières.
Pour en savoir plus sur la prévoyance Branchet, rendez-vous sur notre page dédiée La Prévoyance par Branchet ou demander un audit avec l’un de nos experts :
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🔎 FAQ
Quels sont les risques en chirurgie urologique ?
Au niveau des voies urinaires, l’augmentation des mises en cause serait davantage liée aux actes réalisés avec la technique d’urétérostomie.
Cette dernière, pratiquée avec ou sans fragmentation, peut engendrer, entre autres, des plaies utérales.
A l’inverse, le traitement laser de l’hypertrophie bénigne de la prostate, comme la chirurgie robot assistée prostatique ou rénale, font partie des nouvelles technologies qui n’impacte pas la sinistralité en urologie.
L’urologie est une des rares spécialités médico-chirurgicales qui expose l’urologue du diagnostic au traitement. Il est important de bien choisir le partenaire de sa défense.
Quels sont les principaux facteurs de mise en cause en urologie ?
Parmi les différentes spécialités médicales, l’urologie est l’une des expertises concernées par l’épuisement professionnel et l’isolement : des situations qui peuvent, malheureusement, mener à la faute.
Un phénomène qui s’explique, en premier lieu, par une formation trop souvent peu accessible aux praticiens, dans un domaine porté par de nombreuses innovations technologiques et médicamenteuses. Ainsi, les urologues sont parfois mal préparés pour s’adapter aux situations imprévues.
Il faut également souligner les problèmes liés à la gestion du stress, à la communication et à la coordination au sein du bloc opératoire. La pression administrative, l’exigence de la relation médecin-patient, mais aussi la surcharge de travail sont autant de facteurs à l’origine des erreurs. Au point que les chirurgiens urologues font partie des spécialités médicales fortement impactées par le burn-out.
- Concernant les urologues en formation
UroFrance a mentionné dans l’un de ses rapports une étude réalisée en 2011 qui révélait qu’un quart des urologues en formation (interne/chef de clinique) était en situation de burn-out.
En 2018, ce même organisme a pu mettre à jour ces informations en envoyant un questionnaire aux membres de l’AFUF (association française des urologues en formation). Le résultat de cette étude rejoint les résultats observés en 2011 : 40 % d’entre eux déclaraient souffrir d’un burn-out élevé, un quart confiait souffrir d’un syndrome d’épuisement professionnel sévère, et au moins la moitié des personnes interrogées déclarait souffrir d’un syndrome de dépersonnalisation sévère.
- Concernant les médecins urologues
Avant la crise sanitaire, les urologues membres de l’AFU avaient pu répondre à une enquête ayant pour objet le burn out dans leur profession. Cette dernière, réalisée en 2017, faisait état d’un taux de 30 % de sujets se déclarant en situation de burn out.
En 2021, 434 urologues ont été interrogées sur cette question. La conclusion de l’étude : 40% des personnes questionnées était confrontés à au moins un des facteurs suivants : épuisement émotionnel, cynisme vis-à-vis du travail ou dépersonnalisation, diminution de l’accomplissement personnel au travail.
Comment prévenir les risques médico-légaux en chirurgie urologique ?
La qualité de la formation, ainsi que son renouvellement constant, est primordiale pour prévenir les risques dans le domaine de la chirurgie urologique. L’Association Française d’Urologie (AFU) est d’ailleurs particulièrement active dans ce domaine, avec le système d’accréditation des urologues et Urorisq.
Dans le cadre de ses contrats d’assurance RCP pour les chirurgiens urologues, Branchet va encore plus loin dans la formation et dans la prévention, avec différents dispositifs comme l’Asspro Truck et « Branchet on the road ». Notre objectif : proposer des sessions de formation de d’échange pour comprendre le risque et mieux s’en prémunir.
Présents chaque année au Congrès Français d’Urologie (CFU), Branchet est aux côtés des chirurgiens urologues en cas de mise en cause ou de questionnement lié à leur responsabilité civile.
